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The Messengers

CosmOpera for voices and fixed media (single channel video, two-channel audio), Plexiglas and cosmic rays

Music and video by Marco Buongiorno Nardelli

Libretto by Ken Eklund and Marco Buongiorno Nardelli
after the FutureCoast Project

 

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​RECENT SHOWS/PERFORMANCES

  • December 16-24, 2019, CURRENTS826, "The Messengers" as video-installation, Santa Fe, NM

  • October 14-19, 2019, Miniature Opera Project #2: "The Messengers" a CosmOpera, CMMR2019 (Computer Music Multidisciplinary Research) and GMEM, Marseille, France

“The Messengers”… are cosmic rays. They come to us from the cloud of possible futures. They pass through its messaging system and bring to us voicemails of the future. A modular opera that can be enjoyed either as a video installation or as a video performance with live singers. It is envisioned as an immersive space where a mix of sounds, images and objects tell stories of many possible futures of ordinary people few decades from today. There’s a lot we don’t know about our possible futures, but one thing is now clear: a software system in many of our futures has a leak in it. It’s in the voicemail system, so voicemails are leaking through space-time and are coming back to us, carried by unlikely messengers: cosmic rays.

 

About FutureCoast. FutureCoast has an open, playful premise: what if voicemails are leaking out of the cloud of our possible futures? They’re fascinating to listen to, because each voicemail hints at what’s (climate)changed and what life is like as a result. As an eminently familiar and accessible form of storytelling, voicemails enable people to engage directly with imagining the future – to the point of expressing their own visions, as the voicemails we hear on the site are made by the players themselves. Through the collaborative process of collecting authentic-sounding narratives, FutureCoast opens up an immersive, participatory path to futures thinking. FutureCoast is a storytelling game, an immersive, collaborative work of climate fiction. In the game story, the voicemail system of the future has sprung a leak in space-time, and voicemails made in the future appear in our time. Recordings amass on the website as people create the most authentic-sounding voicemails they can, messages that seem to have leaked out of the near future (2020-2065). Listening to and creating these “street level” future visions empowers people to get past the veil of unreality that often separates us from understanding and acting upon the threat of climate change.

Voicemails can be listened to at: futurecoast.org

 

About “The Messengers”. “The Messengers” begins from where FutureCoast ended, the collection of voicemails that have arrived from the future that make the libretto of the opera. Each of the chosen voicemails is made public as a musical event brought to us by a system that detects cosmic rays, tiny little particles that travel across the universe and that bombard us incessantly.

The performance invites the visitors/audience to become “recipients” of a particular voicemail message, represented in the physical space as “chronofacts”,  physical objects hanging in the space, which “decode” the information carried by the cosmic rays. The musical gestures are mostly prerecorded. When staged as a real-time performance, however, the singers will perform live the vocal parts and the cosmic rays detector will act both as a conductor (controlling the deployment of cues and of musical ideas to the performers) and as an independent instrument on stage (video, fixed media and electronics).

"The Messengers" 

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the Cosmophone

Cosmophone direction by Claude Vallee

Artistic coordination by Jacques Sapiega

Technical direction by Gaetan Parseihian

In October 2019 "The Messengers" has been premiered as a multimedia installation in Marseille, France, as the result of an interdisciplinary collaboration between Marco, the PRISM Laboratory of CNRS, Claude Vallee, and Jacques Sapiega. The performance was sponsored by GMEM (Centre National de Creation Musicale), the CMMR (Computer Music Multidisciplinary Research) and CNRS (Centre National de Recherche Scientifique) in occasion of the celebrations of the 80th anniversary of the institute, and IMeRA (Institute for Advanced Studies of Aix-Marseille University). Here follows the description of the installation (in french):

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le CosmOpéra “The Messengers” (Les Messagers) est construit autour du concept du Cosmophone. Le Cosmophone est une installation immersive conçue pour détecter les rayons cosmiques ambiants, particules élémentaires issues de phénomènes galactiques lointains qui bombardent en permanence notre planète, et restituer instantanément leurs trajectoires sous forme de sons dans l’espace environnant l’auditeur. S’appuyant sur cette plate-forme, “The Messengers” commence à partir du point où FutureCoast se terminait : la collection de messages vocaux parvenus de l’avenir. Chacun des messages vocaux choisis est rendu public sous la forme d’un événement musical piloté par la réponse du Cosmophone aux rayons cosmiques, les Messagers. Deux modes d’opération sont envisagés : un mode autonome, où chaque visiteur du public, avant d’entrer dans l’installation, choisira un «chronofact» qui sera décodé et diffusé par le Cosmophone sous forme de séquence préenregistrée contrôlée par les rayons cosmiques ; un mode « live » où des chanteurs choisiront les chronofacts et interprèteront eux-mêmes les messages vocaux, en étant accompagnés par le Cosmophone qui fonctionnera à la fois comme conducteur (contrôlant le déploiement des repères et des idées musicales aux interprètes) et comme un instrument électronique indépendant.

 

À propos de l’installation. Le Cosmophone se situe au confluent des sciences fondamentales de pointe (astrophysique et physique des particules), des nouvelles technologies (synthèse sonore numérique en temps réel et spatialisation du son) et de l’art contemporain (musique et installations environnementales), domaines dont la fertilisation mutuelle peut être source de développements originaux. En plaçant le spectateur à la croisée de l’infiniment petit (les particules élémentaires qui le transpercent) et de l’infiniment grand (le cosmos dont elles proviennent), le Cosmophone met l’auditeur en contact direct avec l’ensemble de notre galaxie et les phénomènes violents qui s’y produisent, stimulant tout un imaginaire qui peut offrir un nouveau champ d’action à la création artistique.

 

Eléments techniques :

Le Cosmophone proposé couple un ensemble de 8 détecteurs de particules cosmiques à un réseau de 8 haut-parleurs. Détecteurs et haut-parleurs sont disposés au centre du public, au sol et à quelques mètres de hauteur. L'installation est contrôlée par une régie centrale qui comprend une baie d'électronique et un ordinateur.

Materiel scénique :

Deux options sont possibles pour l’accroche des éléments supérieurs : pont mobile autonome de 4 x 3.5 m2 et 3 m de hauteur (image ci-dessous), ou points d’accroche intégrés au plafond s’ils sont disponibles dans la salle.

Espace :

Une surface minimale de 100 m2 est nécessaire pour accueillir le public et/ou les musiciens autour de l’installation. La hauteur de la salle doit être de 4 à 5 mètres si l’on utilise le pont mobile autonome ci-dessous, ou d’au moins 2,5 mètres si des points d’accroche sont déjà disponibles au plafond.

Claude Vallée est Directeur de Recherche au Centre de Physique des Particules de Marseille, CNRS-IN2P3 et Aix-Marseille Université.  Il a initié le concept du Cosmophone et l’a développé en collaboration avec David Calvet et Dirk Hoffmann, du Centre de physique des particules de Marseille, et Richard Kronland, Thierry Voinier, Charles Gondre et Gaétan Parseihian, du laboratoire CNRS-PRISM (perception, représentations, image, son, musique) Marseille, France. Le Cosmophone a été lauréat du prix « Création » de la culture scientifique et technique, décerné par le Ministère de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur, et est breveté par le CNRS. Web: cosmophone.in2p3.fr
 

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